Catalogue du Réseau Mikanda

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De l'esprit des lois. |
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Titre de série : De l'esprit des lois., 1 Titre : De l'esprit des lois Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles-Louis de Secondat Montesquieu (1689-1755), Auteur ; Laurent Versini, Editeur scientifique Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1995 Collection : Collection Folio Sous-collection : Essais num. 275 Importance : 604 p. Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-038758-8 Prix : 59 F Langues : Français (fre) Mots-clés : Institutions politiques Philosophie politique Index. décimale : 320.0 Résumé : «Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois ; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve ; je me croirais le plus heureux des mortels.Si je pouvais faire en sorte que ceux qui commandent augmentassent leurs connaissances sur ce qu'ils doivent prescrire, et que ceux qui obéissent trouvassent un nouveau plaisir à obéir, je me croirais le plus heureux des mortels.Je me croirais le plus heureux des mortels, si je pouvais faire en sorte que les hommes pussent se guérir de leurs préjugés. J'appelle ici préjugés, non pas ce qui fait qu'on ignore de certaines choses, mais ce qui fait qu'on s'ignore soi-même.C'est en cherchant à instruire les hommes, que l'on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l'amour de tous. L'homme, cet être flexible, se pliant dans la société aux pensées et aux impressions des autres, est également capable de connaître sa propre nature lorsqu'on la lui montre, et d'en perdre jusqu'au sentiment lorsqu'on la lui dérobe.» De l'esprit des lois., 1. De l'esprit des lois [texte imprimé] / Charles-Louis de Secondat Montesquieu (1689-1755), Auteur ; Laurent Versini, Editeur scientifique . - [Paris] : Gallimard, 1995 . - 604 p. : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Collection Folio. Essais; 275) .
ISBN : 978-2-07-038758-8 : 59 F
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Institutions politiques Philosophie politique Index. décimale : 320.0 Résumé : «Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois ; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve ; je me croirais le plus heureux des mortels.Si je pouvais faire en sorte que ceux qui commandent augmentassent leurs connaissances sur ce qu'ils doivent prescrire, et que ceux qui obéissent trouvassent un nouveau plaisir à obéir, je me croirais le plus heureux des mortels.Je me croirais le plus heureux des mortels, si je pouvais faire en sorte que les hommes pussent se guérir de leurs préjugés. J'appelle ici préjugés, non pas ce qui fait qu'on ignore de certaines choses, mais ce qui fait qu'on s'ignore soi-même.C'est en cherchant à instruire les hommes, que l'on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l'amour de tous. L'homme, cet être flexible, se pliant dans la société aux pensées et aux impressions des autres, est également capable de connaître sa propre nature lorsqu'on la lui montre, et d'en perdre jusqu'au sentiment lorsqu'on la lui dérobe.» Réservation
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Titre de série : De l'esprit des lois., 2 Titre : De l'esprit des lois. Tome II Type de document : texte imprimé Auteurs : Charles-Louis de Secondat Montesquieu (1689-1755), Auteur ; Laurent Versini, Editeur scientifique Editeur : [Paris] : Gallimard Année de publication : 1995 Collection : Collection Folio Sous-collection : Essais num. 276 Importance : P. 610-1627 Présentation : couv. ill. en coul. Format : 18 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032899-4 Prix : 70 F Langues : Français (fre) Mots-clés : Institutions politiques Philosophie politique Résumé : «Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois ; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve ; je me croirais le plus heureux des mortels.Si je pouvais faire en sorte que ceux qui commandent augmentassent leurs connaissances sur ce qu'ils doivent prescrire, et que ceux qui obéissent trouvassent un nouveau plaisir à obéir, je me croirais le plus heureux des mortels.Je me croirais le plus heureux des mortels, si je pouvais faire en sorte que les hommes pussent se guérir de leurs préjugés. J'appelle ici préjugés, non pas ce qui fait qu'on ignore de certaines choses, mais ce qui fait qu'on s'ignore soi-même.C'est en cherchant à instruire les hommes, que l'on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l'amour de tous. L'homme, cet être flexible, se pliant dans la société aux pensées et aux impressions des autres, est également capable de connaître sa propre nature lorsqu'on la lui montre, et d'en perdre jusqu'au sentiment lorsqu'on la lui dérobe.» De l'esprit des lois., 2. De l'esprit des lois. Tome II [texte imprimé] / Charles-Louis de Secondat Montesquieu (1689-1755), Auteur ; Laurent Versini, Editeur scientifique . - [Paris] : Gallimard, 1995 . - P. 610-1627 : couv. ill. en coul. ; 18 cm. - (Collection Folio. Essais; 276) .
ISBN : 978-2-07-032899-4 : 70 F
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Institutions politiques Philosophie politique Résumé : «Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince, sa patrie, ses lois ; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve ; je me croirais le plus heureux des mortels.Si je pouvais faire en sorte que ceux qui commandent augmentassent leurs connaissances sur ce qu'ils doivent prescrire, et que ceux qui obéissent trouvassent un nouveau plaisir à obéir, je me croirais le plus heureux des mortels.Je me croirais le plus heureux des mortels, si je pouvais faire en sorte que les hommes pussent se guérir de leurs préjugés. J'appelle ici préjugés, non pas ce qui fait qu'on ignore de certaines choses, mais ce qui fait qu'on s'ignore soi-même.C'est en cherchant à instruire les hommes, que l'on peut pratiquer cette vertu générale qui comprend l'amour de tous. L'homme, cet être flexible, se pliant dans la société aux pensées et aux impressions des autres, est également capable de connaître sa propre nature lorsqu'on la lui montre, et d'en perdre jusqu'au sentiment lorsqu'on la lui dérobe.» Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité WB01275 320 MON D indéterminé / indéterminé DWB indéterminé Disponible